Les essais menés
à Toulouse
Les différentes campagnes d’essais CEM ont consisté à tester l’instrument grâce à un prototype fonctionnel (Engineering Model) puis le véritable modèle de vol (Flight Model).
Sopemea a mis en œuvre ses moyens de mesures d’émissions et de susceptibilités en zone propre ISO7 pour réaliser ces essais. Les essais ont permis de vérifier que la pollution électromagnétique présente sur l’atterrisseur lunaire ne dégradait pas l’extrême sensibilité de l’instrument et que celui-ci en retour ne perturbait pas les communications RF de la plateforme.
De l'eau sur
la Lune ?
La pseudo-atmosphère de la Lune est en évolution permanente entre ce qui émane et ce qui est absorbé par le sol. C’est ce mécanisme qui pourrait expliquer comment des molécules d’eau se retrouvent piégées dans les cratères polaires. Analyser le mouvement du Radon permettrait de comprendre le mouvement des gaz et donc la répartition des particules, dont l’eau, à la surface lunaire.
Comprendre le transport du Radon c’est donc toucher du doigt le transport des molécules d’eau et appréhender la présence d’eau. DORN est un démonstrateur de l’intérêt potentiel de ce type de mesure pour l’exploration du système solaire … de là à découvrir de l’eau sur Mars lors de prochaines missions…
En savoir plus :
Un instrument toulousain analysera un gaz à la surface de la Lune en 2024 – Institut de Recherche en Astrophysique et Planétologie (omp.eu)
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